Dirigé par Isabelle Blessig, l'ensemble en grand groupe a chanté des pièces variées en première partie, tel que Aimer à perdre la raison de Jean Ferrat ou Quand on a que l'amour de Jacques Brel. En petit groupe, les chanteurs ont interprété Le lion est mort ce soir ou Syracuse de Henri Salvador. Quelques partitions de jazz ont également enthousiasmé le public comme Gerswhin for girls de George Gerschwin ou Le jazz et la java de Claude Nougaro.
( photo DNA)
D'emblée, le succès fut au rendez-vous puisque la salle était comble aux deux séances prévues samedi soir et dimanche après-midi, de sorte qu'une troisième représentation a été proposée dimanche soir.
Dirigé par Isabelle Blessig, l'ensemble en grand groupe a chanté des pièces variées en première partie, tel que Aimer à perdre la raison de Jean Ferrat ou Quand on a que l'amour de Jacques Brel. En petit groupe, les chanteurs ont interprété Le lion est mort ce soir ou Syracuse de Henri Salvador. Quelques partitions de jazz ont également enthousiasmé le public comme Gerswhin for girls de George Gerschwin ou Le jazz et la java de Claude Nougaro.
Harmonisation inédite
En deuxième partie, un medley de chansons de Jean-Jacques Goldmann, en cinq mouvements et un post-scriptum, a été présenté. Accompagnés par un orchestre de musiciens professionnels, spécialement monté pour l'occasion, les choristes ont maintenu le rythme durant plus d'une heure. Ils ont chanté Quand la musique est bonne, Je te donne ou La vie par procuration.
Cette harmonisation tout à fait inédite n'a été chantée qu'une seule fois en France et en Belgique. Grâce à un travail d'équipe réalisé dans la bonne humeur et une excellente maîtrise, la Chorale 1857 a su enchanter, une nouvelle fois, un public depuis longtemps conquis.